Chutes des Chaudières à Gatineau, sur l'Outaouais, depuis le pont des Chaudières.
À l'arrière-plan, le barrage en forme de demi-cercle.
Cette photo et les suivantes, 8 décembre 2012.
À l'arrière-plan, le barrage en forme de demi-cercle.
Cette photo et les suivantes, 8 décembre 2012.
Histoire d'apporter un témoignage visuel contemporain à mon billet sur les chutes des Chaudières, à Gatineau, j'allais mettre en ligne ce message quand une fausse manœuvre en a effacé le contenu à jamais.
Plutôt que de le réécrire, j'en donne ici un résumé. En bref, j'y expliquais que les Chutes des Chaudières ne sont visibles que d'un seul endroit, depuis une courte section du pont des Chaudières, à partir du mauvais côté de la chaussée, le seul accessible aux piétons (et aux cyclistes prudents).
Le zoom nous donne une fausse impression de proximité.
Nul pot-de-fleurs en vue...
Nul pot-de-fleurs en vue...
J'y maugréais contre les mauvaises conditions météorologiques qui m'obligeaient à prendre des photos un jour d'hiver sous un ciel plombé.
On y apprenait aussi que l'aspect spectaculaire ou non des chutes sous le barrage qui les harnache dépendait du niveau de l'eau et du débit d'icelle que le dit barrage laissait s'écouler. On s'en serait douté.
Enfin, je déplorais que ces chutes, sorte de nombril autour duquel Gatineau et Ottawa s'étaient construites, était caché aux habitants des deux villes et aux visiteurs de passage. Pudique ombilic...
Aucune solution pour remédier à cet état de fait n'était proposée.
D'un autre angle ? C'est pas mieux...
Photographier les chutes depuis le parapet semble la solution, mais le passage de fréquents
poids lourds et l'étroitesse de la chaussée rendent cette entreprise quelque peu suicidaire.
Photographier les chutes depuis le parapet semble la solution, mais le passage de fréquents
poids lourds et l'étroitesse de la chaussée rendent cette entreprise quelque peu suicidaire.
En amont des chutes : l'arc de cercle du barrage (à gauche),
les eaux calmes et plates de l'Outaouais transformées en réservoir.
Au loin, sur l'autre rive, Ottawa, estompée et lointaine.
les eaux calmes et plates de l'Outaouais transformées en réservoir.
Au loin, sur l'autre rive, Ottawa, estompée et lointaine.
Évidemment, il y a des points de vue privilégiés...
Les chutes des Chaudières, emmurées et masquées, entre Gatineau (à gauche) et Ottawa (à droite),
6 juin 2006. Le niveau des eaux était relativement bas, les chutes peuvent être beaucoup
plus bouillonnantes. Le pont des Chaudières se reconnaît à sa superstructure peinte en vert.
6 juin 2006. Le niveau des eaux était relativement bas, les chutes peuvent être beaucoup
plus bouillonnantes. Le pont des Chaudières se reconnaît à sa superstructure peinte en vert.
Photo : Shanta (Flickr : http://flickr.com/photos/23817022@N00/2220015238).
License cc-by-2.0, Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Ottawa_Chaudiere_Falls.jpg
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