Remous dans la rivières des Outaouais, Gatineau (Québec), 5 décembre 2009.
Je reprends ici la photo qui ouvrait mon dernier billet. J'y en adjoins une autre, «pas rapport», comme on dit. Je contreviens à mes principes en pratiquant un si périlleux rapprochement, mais voyez-vous comme moi une parenté entre l'imbrication des remous de la rivière et la structure du méli-mélo lithologique ?
Addedum
Tant qu'à pratiquer la digression et être hors sujet, autant ne pas se leurrer et s'imaginer que la modération est une forme d'excuse. Je travaillais à tout autre chose quand je suis tombé sur ces photos qui, elles, à l'intérieur de cette parenthèse, sont tout à fait dans le ton. Je les ajoute donc sans scrupules à mon billet.
Addedum
Tant qu'à pratiquer la digression et être hors sujet, autant ne pas se leurrer et s'imaginer que la modération est une forme d'excuse. Je travaillais à tout autre chose quand je suis tombé sur ces photos qui, elles, à l'intérieur de cette parenthèse, sont tout à fait dans le ton. Je les ajoute donc sans scrupules à mon billet.
Remous dans la rivière des Outaouais, Gatineau (Québec), 5 décembre 2009.
Boudins d'une pyroxénite (vert) plissés et démembrés dans un marbre, Chelsea (Québec), 29 octobre 1999.
Note. – Les affleurements rocheux représentés dans ce billet appartiennent à la même bande de marbre et sont séparés d'environ 2 km.
«Tant qu'à... autant ne pas se leurrer et s'imaginer...»
RépondreSupprimerTu peux ben t'intéresser aux remous, aux méandres et aux diguidigressions : ta prose est aussi tortueuse et contournée que la plus imprévisible des rivières. Hihi! ;)
Signé : TSQ (Tu Sais Qui)
C'est une mise en abîme. Les roches, l'eau, le propos, tout semble s'emboîter selon la même logique. Si c'est trop compliqué, contente-toi de regarder les images. ;)
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