vendredi 14 avril 2017

On ne démolit plus


Mise à jour un peu tardive à propos de deux dossiers qui ont fait la une de l'actualité régionale. Le blogue ayant fait écho aux controverses et même, dans le premier cas, alimenté les discussions, je me devais de faire part de l'évolution des choses. En bref, la mine Back-Wallingford (voir articles du blogue) sera sécurisée (et préservée) tandis que les ruines des rapides Deschênes seront conservées (voir le blogue).


La mine Back-Wallingford, au nord de Gatineau, QC. Photo Carl Mondello, prise dans Motherboard, Brigitte Noël, «The uncertain future of Québecs most beautiful abandoned mine», 19 octobre 2016.




Wallingford-Back : bientôt un plan pour la mine

«Le sort à court terme de la mine désaffectée Wallingford-Back, à Mulgrave-et-Derry, sera connu dans deux semaines.
Le ministère de l'Énergie et des Ressources naturelles (MERN) prévoit présenter son plan de sécurisation des lieux à la MRC de Papineau le 19 avril, a affirmé au Droit le porte-parole du ministère, Sylvain Carrier.
Les détails de ce plan seront divulgués aux élus de la Municipalité régionale de comté dans le cadre d'une séance d'information. M. Carrier confirme toutefois que l'option du dynamitage et de la démolition de l'endroit ne figure pas dans les cartons de Québec. Cette possibilité avait soulevé l'ire de défenseurs du patrimoine, l'automne dernier. [...]» (Benoit Sabourin, Le Droit, 7 avril 2017.)


Les ruines de la centrale de la Deschênes Electric Company sur les rapides Deschênes à Aylmer (Gatineau), QC. Photo Simon Séguin-Bertrand, Archives Le Droit.


Le MTQ ne souhaite plus démolir les ruines des rapides Deschênes

«Le ministère des Transports du Québec (MTQ) met sur la glace son projet de démolition des ruines des rapides Deschênes, a appris Le Droit.
Le député du Pontiac, André Fortin, confirme que des représentants du MTQ ont récemment rencontré des représentants d'associations de kayakistes et que le projet proposé par ces derniers pour la mise en valeur du site et l'amélioration de la sécurité dans le secteur est suffisamment intéressant pour mettre un frein à la démolition des vestiges. [...]» (Benoit Sabourin, Le Droit, 12 avril 2017.)

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