Merci à Roger Latour de Flora Urbana qui s'est à nouveau soucié d’enrichir le contenu de ce blogue.
Roger m’a transmis cette collection de représentations des chutes des Chaudières, sur la rivière des Outaouais, conservée à la Bibliothèque publique de Toronto (BPT).
Plusieurs de ces œuvres sont connues. Il y en au aussi plusieurs inédites, du moins pour moi.
Les titres et les légendes placent les chutes à Ottawa, en Ontario. C’est un peu excessif dans la mesure où la Petite Chaudière est toute entière à Hull, au Québec, tandis que seule la rive sud de la Grande Chaudière se trouve en Ontario. (Notez que la frontière interprovinciale des cartes de Google est fausse en amont des chutes. Voir mon billet du 4 mai 2013.)
Après deux interventions de ce genre (voir billet précédent), le titre de lecteur du mois est à présent presque assuré à M. Latour.
Les chutes esquissées...
Deux esquisses au crayon de George Harlow White (1876). Le titre choisi par la BPT, «Chaudiere Falls, Ottawa (Ontario)» n'est pas tout à fait exact comme je l'explique plus haut dans le texte. La première esquisse représente la Grande Chaudière tandis que la seconde montre la Petite Chaudière. Toronto public library.
... et géométrisées
John Elliott Woolford, Part of the Chaudiere Falls, near Wright's Town (Ottawa, Ontario [sic]). La scène représente la
Ajout (25 nov. 2013). – Woolford est aussi l'auteur du «pot-de-fleurs» (billet du 5 déc. 2012).
Ce n'est pas tout, il y a encore d'autres œuvres à découvrir à la BPT (lien plus haut).
Les esquisses de Georges White sont magnifiques...
RépondreSupprimerJe trouve aussi. Elles rendent très bien l'atmosphère ou l'esprit de la rivière.
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